revoir

Par Michi Gunther

Mes années avec RC Cars

Il semblait que le souvenir de ma participation active à des courses automobiles (le plus récent de Formule Vee dans les années 70) s'est lentement estompé, lorsqu'un événement est entré dans ma vie en 1995 et qui me préoccupe encore aujourd'hui.

Un jour, un employé de l'entreprise où je travaillais comme ingénieur en mécanique m'a traîné à Munster sur le Hoolmorring du MC Munster. Il y a eu une course sur une échelle de 1: 5 après la Gröschl Cup. Le schéma de conduite de ces voitures m'a fasciné et l'idée de le faire a grandi, à la différence près que je voulais construire moi-même une telle voiture. Comme j'ai toujours été un fan de formule, la première voiture devrait être une Formule 1.

Comme je n'avais pas de système 3D à la maison à l'époque, la bonne vieille planche à dessin dans le grenier a dû être réactivée. Et donc j'ai commencé à construire une formule. Le premier problème était de savoir quel empattement utiliser. La largeur extérieure sur les roues n'était pas un problème, les F1 à l'époque mesuraient 2 mètres de large. J'avais déterminé l'empattement de 3100 mm grâce à plusieurs évaluations d'images, donc ma formule devrait avoir un empattement de 620 mm. Cela a été suivi par la question suivante : quel type de roues/pneus était en cause. Les pneus les plus larges à l'époque étaient les pneus S1, qui étaient destinés aux voitures de sport de l'époque. Ces pneus S ou S1 étaient donc les seuls à correspondre dans une certaine mesure à l'échelle. Les jantes à l'époque ne correspondaient pas du tout à la formule optiquement, en plus de cela, je n'aimais pas l'ensemble du processus de collage, j'ai donc conçu une jante en aluminium en 3 parties. L'insert a été poussé sur un anneau mince, maintenant le pneu a été mis dessus. Le tout était maintenant vissé avec un cornet intérieur et extérieur, de sorte qu'un serrage a eu lieu, ce qui a empêché le pneu de sortir de la jante.

Comme j'avais mes propres idées pour tous les composants pertinents, B. une direction à pignon et crémaillère, une plaque double plancher constituée de 2 plaques d'aluminium superposées de 3 mm d'utilisation. (Quel effort). En tant qu'entraînement, j'avais utilisé un moteur de taille-haie converti de 30 cc qui n'a pas retiré de cheville de la plaque. Après avoir percé le carburateur, la chose a en fait fonctionné aussi vite qu'un camion Gröschl qui devait être acheté à l'époque. La traduction principale que j'ai choisie était une chaîne de 8 mm. Puis j'ai conçu le différentiel et les amortisseurs dans toutes les variantes possibles, parfois avec une chambre de compensation, parfois avec une tige de piston continue. Pour la traction arrière, j'ai choisi les os utilisés à l'époque, la goupille croisée se desserrant et s'envolant de temps en temps. Un capuchon protecteur l'empêchait de s'envoler. Plus tard, j'ai reconstruit l'entraînement pour pouvoir installer les arbres d'entraînement à billes Gröschl qui étaient disponibles entre-temps, qui étaient déjà entièrement fonctionnels à l'époque et sont toujours utilisés aujourd'hui. Le package de conception suivant était les freins avec porte-roues. Dès le début, j'ai conçu les freins hydrauliques de la même manière que sur les voitures normales en tant que freins à étrier flottant. Ceux-ci fonctionnent encore aujourd'hui dans ma formule self-made et dans le 510 self-made. Des fonctionnalités plus petites ont été ajoutées au fil du temps, telles que le montage des triangles supérieurs à l'avant, que j'ai détachés des supports et stockés dans des barres longitudinales coulissantes afin que je puisse ajuster en continu la roulette. J'ai proposé les constructions les plus aventureuses pour les stabilisateurs, mais celles-ci se sont avérées trop chères. En fait, j'ai copié le bâton de balle du 1:8. Lorsque le châssis était enfin prêt, le grand moment est venu de faire rouler le châssis fini.

Vient ensuite la voiture de formule. Ce n'est qu'en 2000 que Gröschl sort sa formule. Ensuite, il y avait les voitures de formule que je préférais acheter et il y avait aussi les bons vélos. Mais rien de tout cela n'existait en 1995/96. Faire des chèques soi-même était à l'ordre du jour. Je les ai formés à partir d'une feuille d'aluminium de 0,5 mm, toujours en pensant à la Ferrari. La tôle était pliée et pliée autant que possible. Ensuite, il y avait une fine couche de mastic qu'il fallait ensuite poncer. La peinture était alors un jeu d'enfant.

Comme je n'avais jamais conduit de modèle réduit de voiture télécommandé auparavant, à presque 50 ans, j'ai fait mes premiers essais de conduite dans un grand parking, qui était en quelque sorte trop petit, de sorte que j'ai eu mes premières expériences de collision avec les roues avant cisaillées. . Mais mon enthousiasme a persisté, et j'ai donc fait les autres essais sur le Hoolmorring à Munster. Cependant, je me suis rendu compte que conduire des voitures miniatures et conduire une vraie voiture de course sont deux paires de chaussures. Le popomètre manque tout simplement. Bien sûr, vous savez qu'il existe une ligne idéale, mais la sensation de vitesse dans les virages résulte de beaucoup de conduite, d'une configuration optimale et d'une expérience où il me manque environ 20 à 30 ans.

En 1999 j'ai construit la 2ème formule avec les connaissances des essais de la 1ère formule. J'ai ensuite installé les moteurs de course 23cc dans les deux voitures. C'était un solo et un moteur technologique. Qui les connaît encore aujourd'hui ? Pour cela, j'ai construit les appropriés

Transmission.

En 2000, j'ai acheté la première voiture de formule Makrolon et les premiers vélos de formule. Ainsi équipé, j'ai participé sporadiquement à des courses jusqu'en 2004.

En 2001, j'ai construit un châssis de voiture de tourisme avec des pièces pertinentes de la première formule, qui n'existait plus à l'époque. Je participais aussi de temps en temps à des courses avec, ce qui était très amusant.L'inconvénient de participer à des courses avec des autodidactes était l'achat de pièces détachées que je devais fabriquer moi-même encore et encore. Il n'y avait alors pas de temps pour cela.

En 2011, fin des courses auto-construites. Pour cela j'ai acheté une Lauterbacher d'occasion, dont j'ai raccourci le châssis à la longueur 510mm afin d'utiliser une Porsche Karo. À partir de 2012, j'ai participé à la série Porsche Cup, ce qui m'a beaucoup amusé.

Puis vint un châssis Harm. En 2017, un Mecatech avec un châssis de 510 mm pour la Porsche Karo a été ajouté. En 2019, j'ai converti ce châssis avec une plaque de base plus longue afin de pouvoir participer à la nouvelle série GT avec les carrosseries correspondantes. Aujourd'hui, à l'heure de Corona, nous sommes assis à la maison et espérons que nous pourrons à nouveau courir en 2021.

MG